Au début de la consultation, nous collaborons pour établir les objectifs que vous désirez atteindre. Nous formulons ces objectifs de manière à ce qu'ils soient parfaitement compréhensibles pour votre subconscient. En utilisant le test musculaire, nous confirmons premièrement si c'est approprié de travailler sur cet objectif, puis nous identifions l'approche la plus adaptée pour ce travail. Lors de l'étape d'"équilibration", nous mettons en place un état de "cerveau unifié" qui élimine toute résistance et facilite l'adoption de la nouvelle croyance que vous avez choisie. Ensuite, nous vérifions que la croyance a bien été transformée. Viendra le temps pour vous de prendre de nouvelles actions conscientes, alignées avec vos valeurs et votre potentiel de réussite fraîchement débloqué. Dans certains cas, une séance peut porter sur un ou plusieurs objectifs. Il est essentiel de noter que PSYCH-K® facilite des changements en quelques séances, sans effort, et sans la nécessité de revivre des événements passés douloureux. Il s'agit d'un complément idéal à d'autres formes de traitement médical, de thérapie, ou de travail de développement personnel.

Soyez ouvert à l'expérience. Le processus est doux, non invasif, et peut apporter des changements significatifs. La clé est d'exprimer clairement vos objectifs pour que nous puissions travailler ensemble efficacement. Si vous avez déjà identifié des blocages ou des croyances limitantes, les partager avec moi en début de séance est très utile. Cela nous permettra de maximiser l'efficacité de la séance en nous adaptant rapidement à vos besoins, et nous pourrons travailler sur un plus grand nombre de croyances dans le temps alloué. Pour vous assurer une expérience optimale, veillez à respecter quelques éléments de soin personnel. Assurez-vous d'être bien hydraté, de ne pas être à jeun, évitez de consommer une grande quantité de café ou de thé avant la séance, et abstenez-vous de boire de l'alcool ou de prendre des drogues plusieurs heures avant notre rencontre.

Le nombre de séances dépend de vos objectifs et de la profondeur de vos croyances limitantes. Certaines personnes ressentent un changement après une ou deux séances, tandis que d'autres peuvent avoir besoin de plus pour des problèmes plus complexes. Il est recommandé d'attendre au moins 15 jours entre les séances, Cela peut varier en fonction des besoins individuels, de la complexité des problèmes à traiter, et de la réceptivité de la personne à la technique. Voici quelques raisons possibles derrière cette recommandation : Intégration des changements : Lorsque vous travaillez sur des croyances et des schémas de pensée profonds, il est important de laisser le temps à votre esprit de s'ajuster aux nouveaux modèles. Un délai entre les séances permet à ces changements de se stabiliser et de s'intégrer plus efficacement. Évolution progressive : La transformation personnelle peut être un processus graduel. Espacer les séances permet de suivre l'évolution de la personne entre chaque session et d'ajuster les objectifs en conséquence. Charge émotionnelle : Travailler sur des croyances limitantes peut parfois susciter des émotions fortes. Un intervalle de temps entre les séances donne à la personne l'occasion de gérer ces émotions et de s'adapter progressivement aux changements. Temps de réflexion : Les clients ont besoin de temps pour réfléchir à leurs expériences entre les séances. Cela peut favoriser une meilleure compréhension de soi et une prise de conscience plus profonde. Optimisation des résultats : En donnant à chaque séance le temps de produire des résultats tangibles avant d'envisager la prochaine étape, on maximise les chances d'obtenir des résultats durables. Cependant, il est essentiel de noter que la fréquence des séances dépend des besoins individuels. Certaines personnes peuvent bénéficier de séances plus rapprochées, tandis que d'autres préfèrent des intervalles plus longs. La recommandation de 15 jours est une ligne directrice générale, mais la flexibilité est souvent de mise pour s'adapter aux besoins spécifiques de chaque individu.

Les croyances se forment au fil du temps en fonction de nos expériences, de notre éducation, de notre environnement culturel, de nos interactions avec les autres, et de nos interprétations personnelles. Elles sont les convictions profondes qui influencent notre perception du monde et nos réactions aux événements. Voici comment se créent les croyances : Expériences personnelles : Nos propres expériences, en particulier celles vécues dans l'enfance, façonnent nos croyances. Par exemple, si nous avons grandi dans un environnement où l'on nous a constamment dit que nous n'étions pas assez bons, cela peut créer des croyances d'insuffisance. Éducation : Les valeurs et les croyances de nos parents, de nos enseignants et de notre culture jouent un rôle majeur dans la formation de nos croyances. Les messages que nous recevons durant notre éducation ont un impact durable. Interactions sociales : Les opinions et les jugements des autres, ainsi que notre désir de nous conformer à la norme sociale, influencent nos croyances. Par exemple, si nos amis pensent que quelque chose est vrai, nous pouvons être enclins à y adhérer également. Médias et société : Les médias, la publicité et la culture populaire diffusent des messages qui peuvent influencer nos croyances sur ce qui est important, désirable ou acceptable. Maintenant, pourquoi modifier les croyances ? Modifier ses croyances peut être bénéfique pour plusieurs raisons : Amélioration du bien-être : Les croyances limitantes peuvent engendrer des émotions négatives, telles que l'anxiété, la dépression, la colère ou la frustration. En modifiant ces croyances, on peut améliorer son bien-être émotionnel. Amélioration des comportements : Les croyances influencent nos actions. En modifiant des croyances qui nous retiennent, nous sommes plus susceptibles d'adopter des comportements positifs et constructifs. Développement personnel : En remettant en question et en modifiant les croyances limitantes, on peut débloquer son potentiel et s'épanouir davantage sur le plan personnel et professionnel. Relations interpersonnelles : Les croyances affectent nos interactions avec les autres. En changeant des croyances qui causent des conflits ou des malentendus, on peut améliorer ses relations. Réussite et réalisation de ses objectifs : Les croyances positives et favorables renforcent la confiance en soi et peuvent aider à atteindre ses objectifs et aspirations. Il est important de noter que la modification des croyances n'est pas nécessairement toujours nécessaire, et toutes les croyances ne sont pas nécessairement négatives. Certaines croyances sont utiles et positives. La modification des croyances limitantes peut se faire à travers diverses techniques, y compris PSYCH-K®, qui vise à rééquilibrer les croyances limitantes. Elle peut être un moyen puissant d'améliorer sa qualité de vie en permettant une vision plus positive de soi et du monde qui nous entoure.

PSYCH-K et l'hypnose sont deux approches distinctes pour travailler sur l'esprit et le bien-être, mais elles diffèrent dans leurs techniques et leurs approches : PSYCH-K® : Technique basée sur des mouvements musculaires : PSYCH-K® utilise principalement des mouvements musculaires et la kinésiologie pour identifier et changer des croyances limitantes. Il s'agit d'un processus interactif où le facilitateur et le client travaillent ensemble pour rééquilibrer les croyances. Pas d'état de transe : PSYCH-K® n'induit pas d'état de transe. Le client reste pleinement conscient et actif tout au long de la séance. Objectif sur les croyances : L'objectif principal de PSYCH-K® est de changer les croyances négatives ou limitantes qui affectent la pensée et le comportement d'une personne ainsi que de transformer la perception du stress (passé, présent ou futur) vers un état de paix (de "non-attachement") au niveau subconscient. HYPNOSE : Technique de relaxation et de concentration : L'hypnose repose sur l'induction d'un état de transe, un état de relaxation profonde et de concentration. Le client est guidé dans cet état par l'hypnothérapeute. Accès à l'inconscient : L'hypnose vise à accéder à l'inconscient du client, où se trouvent des souvenirs, des émotions et des schémas de pensée profonds. On explore ces aspects pendant la transe.

Absolument, les enfants peuvent bénéficier des séances de PSYCH-K® dans la mesure où ils sont capables d'exprimer leurs besoins et de suivre les instructions. En général, l'âge de 9 ans est souvent considéré comme un âge approprié pour que les enfants puissent pleinement participer au processus. Cependant, pour les enfants plus jeunes, y compris les bébés, la subrogation en PSYCH-K® est une option. Cela signifie que, dans ce cas, un adulte peut représenter l'enfant pendant la séance en tant que substitut. Les techniques PSYCH-K® sont alors appliquées sur le substitut pour aider l'enfant à travers cette approche indirecte. L'âge exact auquel un enfant peut commencer les séances de PSYCH-K® peut varier en fonction de sa maturité et de sa capacité à s'engager dans le processus.

Lorsque les enfants font des séances de PSYCH-K®, il est important de prendre en compte l'implication des parents. Les parents ont un rôle majeur dans le soutien de leur enfant avant et après la séance. Les nouvelles croyances positives visées pendant la séance peuvent être influencées par l'environnement parental. Les parents doivent être informés des objectifs de la séance et des changements souhaités chez l'enfant, afin de mieux soutenir le processus. Prenons l'exemple d'un enfant qui participe à une séance de PSYCH-K® pour surmonter sa peur des hauteurs. Le facilitateur travaille avec l'enfant pour transformer sa croyance limitante en une croyance positive qui lui permet de se sentir plus en confiance lorsqu'il est en hauteur. Cependant, si les parents ne sont pas au courant de cette transformation et continuent d'exprimer des inquiétudes liées à la peur des hauteurs devant leur enfant, cela pourrait contrebalancer les progrès réalisés pendant la séance. La communication ouverte entre le facilitateur, l'enfant et les parents joue un rôle central pour s'assurer que les changements positifs perdurent à la maison, favorisant ainsi le bien-être émotionnel de l'enfant. A noter que si un parent éprouve des difficultés à comprendre ou à soutenir les changements que son enfant expérimente lors des séances, il peut être bénéfique pour le ou les parents de considérer la possibilité de faire une séance PSYCH-K® eux-mêmes. Cela peut aider le parent à mieux comprendre le processus et à avancer dans la même direction que l'enfant, renforçant ainsi le soutien familial et facilitant la communication sur les changements positifs que l'enfant traverse. Cela peut créer une synergie positive au sein de la famille en favorisant une compréhension mutuelle et en renforçant l'alignement vers des croyances et des objectifs communs.